La visite de monuments,
surtout d'intérieur, retient toujours mon attention.
Il s'agit d'une activité
constante d'observation de procéder à ce genre
de photographies.
Entre 2005 et 2011, les
capteurs éprouvaient quelques difficultés à
tirer en basse lumière avec des ISO un peu fort. Principalement
entre 2005 et 2009, la première génération
d'appareils numériques imposait le travail au trépied
et en longue pose n'excédant pas les 400 ISO. La qualité
s'est ensuite considérablement améliorée,
au point que depuis 2015, il est courant de poursuivre tout un
reportage, d'un bout à l'autre, dans une église
à main levée. Cette évolution technique
s'exprime par une progressive révolution dans la conception
de certains cadrages et dans la vitesse d'exécution d'un
témoignage.
Au delà de l'aspect
purement esthétisme d'une belle lumière dans un
superbe cadre bien composé, ma pratique de la photographie
architecturale est indissociable d'une intense spiritualité. |